Notre relation avec la vie est surprenante.
Celle avec la mort encore plus.
Celle-ci traverse rapidement notre esprit, provoque des angoisses passagères,
mais tant qu'elle ne nous menace pas profondément, c'est à
dire de façon égoïste,
on l'évacue même si nos phases d'angoisse nous rappellent
à l'ordre.
Comme je suis à une époque de ma vie où les avertissements
deviennent trop proches,
je suis contraint d'en tenir compte à mon corps défendant.