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Beaucoup de photographes se sentent exister quand ils ont faits le tour du monde.
Ce n'est pas mon cas. J'ai du mal à exister mais ce n'est pas pour les mêmes raisons.
Si l'on va à Cuba, l'île de La Réunion, la Russie ou le Mékong,
on ne peut qu'être étonné de ce que notre planète est capable de nous offrir
en paysages d'une variété extraordinaire.
Malgré ces dépaysements, je me suis toujours sentie chez moi.
Ces paysages me parlaient toujours de ce que j'aime regarder : la nature.
Quel que soit le lieu elle est faite des mêmes éléments assemblés autrement : l'eau, le minéral, le végétal.
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